« Dans cette ville d’Abbaza, il y avait un palmier devant nos fenêtres. C’était la première fois que je voyais cet arbre splendide poussant librement dans un doux climat. Je regardais ses feuilles trembler dans la brise du matin et c’est de là que me vint l’idée de ce frémissement des bas, des mains et des doigts que mes imitatrices ont déformé ; elles ont oublié d’aller à la source primitive et d’observer les mouvements du palmier, de les accueillir en elles avant de les projeter au dehors. »
J’adore les passages où elle décrit ses sources d’inspiration : le mouvement des vagues, des oiseaux ou des nuages dans le vent. Mais c’est en arbre frémissant qu'il me plaît le mieux de l'imaginer.
Isadora Duncan sur la plage à Venise, 1903 ou 1905, Anonyme / dans le théâtre Héraclion d'Athènes, photographiée par son frère Raymond Duncan / au Parthénon photographiée par Edward Steichen / sur scène par Arnold Genthe / Robe Delphos du couturier Mario Fortuny, vers 1910 / La danseuse Loïe Fuller sur scène / Le printemps de Boticelli.
Le plaisir de la découverte à la faveur de la Sainte Alice : ça se passe à Clamart jusqu’au 3 janvier et même si vous ne connaissez aucune Alice, il est fortement recommandé d’en profiter.
J’ai beaucoup aimé les Empapilloneurs de Didier Hamey. Et puis en feuilletant son site Internet, ce sont ses créatures pleines d’humour et de fantaisie, faites de "trésors pêchés par terre" que j’ai envie de vous montrer aujourd’hui (et aussi un fort joli atelier).
« Créé à Houston, Texas, en 2005, le groupe de militants 100 % laine KnittaPlease (to knit, tricoter) essaime à travers la planète ses créations au point mousse destinées à réveiller [n]otre perception du quotidien. » Source
1. Cheveux-branches : illustration via French Blast / 2. L'un des "Bio-accessories" des designers Ben Landau and Brittany Veitch pour lutter contre la pollution sonore, via Beton + Garten qui me plait tant.